- EAN13
- 9782919706006
- ISBN
- 978-2-919706-00-6
- Éditeur
- SLOOP INTERMEDI
- Date de publication
- 25/06/2011
- Collection
- CRAIG PRALIN
- Séries
- Série Craig Pralin (1)
- Nombre de pages
- 351
- Dimensions
- 24 x 16,5 x 2,9 cm
- Poids
- 900 g
- Langue
- français
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« Psyché par terre » : Un roman haletant
Dans son polar « Psyché par terre », le romancier lorrain Lee Esterboyd transporte le lecteur dans le monde de l’art.
Les amateurs de bons polars sont servis. Pour son premier roman, le Lorrain Lee Esterboyd parvient à captiver le lecteur dès les premières pages. Au cœur du fascinant monde de l’art et des musées, nous suivons pas à pas l’enquête d’un détective privé confronté à une étonnante énigme. Qui a volé la Psyché de Canova au Baltimore Museum ?
Cette statuette de grande valeur a en effet disparu, le voleur déjouant tous les systèmes électroniques de sécurité. Un brin sadique, il s’est également défoulé sur des toiles de maîtres voisines. Ce véritable crime aux yeux des esthètes prend toute sa dimension dramatique avec cette flèche décochée sur un gardien. La photo d’une des toiles épargnées y est accrochée. Quel est le sens de ce message subliminal ? À qui est-il adressé ?
Le décor est planté. Le travail commence pour le détective Craig Pralin. Et la tâche s’annonce pour le moins délicate. Il va pourtant se jeter corps et âme dans les méandres de la perversité humaine pour confondre et démasquer cet étrange archer qui trouvera encore d’autres cibles bien vivantes dans sa ligne de mire. L’argent et le vice magnétisent et transforment, il est vrai, tous les acteurs de ce polar aux personnages aussi inquiétants qu’attachants, au travers d’un suspense grandissant.
Grâce à des dialogues bien ciselés et une trame raffinée, « Psyché par terre » réunit tous les ingrédients d’un roman haletant au rythme soutenu dans un cadre inédit. Une histoire qui sait aussi habilement se confronter à l’Histoire en s’engouffrant volontiers dans des failles que le temps n’a pu refermer. Un roman où les références culturelles sont en outre distillées avec justesse et parcimonie, non sans un sens pédagogique aiguisé.
Pour ce premier opus, Lee Esterboyd s’est visiblement inspiré de la stratégie de son héros, Craig Pralin. Il a visé juste. Dans le mille. En attendant d’autres aventures.
L. M., Le Républicain Lorrain, 30/08/2011
Dans son polar « Psyché par terre », le romancier lorrain Lee Esterboyd transporte le lecteur dans le monde de l’art.
Les amateurs de bons polars sont servis. Pour son premier roman, le Lorrain Lee Esterboyd parvient à captiver le lecteur dès les premières pages. Au cœur du fascinant monde de l’art et des musées, nous suivons pas à pas l’enquête d’un détective privé confronté à une étonnante énigme. Qui a volé la Psyché de Canova au Baltimore Museum ?
Cette statuette de grande valeur a en effet disparu, le voleur déjouant tous les systèmes électroniques de sécurité. Un brin sadique, il s’est également défoulé sur des toiles de maîtres voisines. Ce véritable crime aux yeux des esthètes prend toute sa dimension dramatique avec cette flèche décochée sur un gardien. La photo d’une des toiles épargnées y est accrochée. Quel est le sens de ce message subliminal ? À qui est-il adressé ?
Le décor est planté. Le travail commence pour le détective Craig Pralin. Et la tâche s’annonce pour le moins délicate. Il va pourtant se jeter corps et âme dans les méandres de la perversité humaine pour confondre et démasquer cet étrange archer qui trouvera encore d’autres cibles bien vivantes dans sa ligne de mire. L’argent et le vice magnétisent et transforment, il est vrai, tous les acteurs de ce polar aux personnages aussi inquiétants qu’attachants, au travers d’un suspense grandissant.
Grâce à des dialogues bien ciselés et une trame raffinée, « Psyché par terre » réunit tous les ingrédients d’un roman haletant au rythme soutenu dans un cadre inédit. Une histoire qui sait aussi habilement se confronter à l’Histoire en s’engouffrant volontiers dans des failles que le temps n’a pu refermer. Un roman où les références culturelles sont en outre distillées avec justesse et parcimonie, non sans un sens pédagogique aiguisé.
Pour ce premier opus, Lee Esterboyd s’est visiblement inspiré de la stratégie de son héros, Craig Pralin. Il a visé juste. Dans le mille. En attendant d’autres aventures.
L. M., Le Républicain Lorrain, 30/08/2011
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