L'île du Point Némo

Jean-Marie Blas de Roblès

Points

  • Conseillé par (Libraire)
    26 octobre 2017

    Foisonnant, rayonnant, érudit, facétieux, jubilatoire, extravagant... génial !

    Roman d'une ampleur extravagante et géniale. Complètement inclassable même si le point de départ s'inscrit dans le registre de l'aventure, de la grande aventure. C'est foisonnant, rayonnant, érudit, facétieux avec de légères touches jubilatoires. Vous tenez entre les mains un grand roman. Vous ne le lâcherez plus et de toutes façons vous l'aimerez.. Ou bien je ne comprends plus rien à la littérature.
    Il s'agit d'un véritable hymne à la littérature, aux livres, aux auteurs, aux lecteurs, à l'imaginaire débordant mais parfaitement maîtrisé, doté d'une petite dimension utopique, voire écologique qui n'est pas pour déplaire.
    Embarquez vite dans ce roman à la recherche du diamant volé...


  • Conseillé par
    25 septembre 2016

    Le roman de tous les romans

    Pour lire et apprécier à sa juste valeur ce roman tourbillonnant de Jean-Marie Blas de Roblès, il faut se plier à deux conventions : la première est de laisser rejaillir son âme d’enfant dans toute sa capacité d’émerveillement. La seconde est d’accepter d’être le jouet docile et consentant de l’auteur qui manipule allégrement son lecteur au même titre que ses personnages dont il est l’habile marionnettiste. Une fois ces règles du jeu acceptées, préparez-vous à un moment unique de lecture, d’évasion, d’enchantement et de franche hilarité. Vous allez découvrir l’un des livres les plus originaux de cette rentrée. Le roman de tous les romans.

    «L’île du Point Némo» démarre dans la plaine de Gaugamèles (Nord de l’Irak actuel) en 331 avant Jésus Christ, lors de la plus célèbre bataille de l’Antiquité qui oppose Alexandre Legrand au Perse Darius. Vous croyez avoir entre les mains un livre sur les guerres macédoniennes, mais il n’en est rien. Même si ce thème ne vous passionne pas, poursuivez votre lecture. Ces armées ne sont que de plombs et leurs déplacements le fruit de l’imagination ludique de Martial Canterel, richissime dandy opiomane.  Alors qu’il est en pleine reconstitution dans son salon, le voilà interrompu par la visite impromptue de son vieil ami Holmes (pas Sherlock mais John Shylock), qui l’informe que le fabuleux diamant « l’Ananké » appartenant à leur relation commune Lady MacRae vient d’être dérobé.  C’est le plus gros diamant jamais exhumé d’une mine terrestre, pas moins de 800 carats.  Et là où l’affaire se corse, c’est que trois pieds droits amputés, de pointures différentes, chaussés de basket de marque Ananké (Destin pour les Grecs) ont été retrouvés au même moment près du château en Écosse de leur amie. Holmes convainc Canterel, qu'il appelle affectueusement " old chap ", de partir avec

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