- EAN13
- 9782221263068
- ISBN
- 978-2-221-26306-8
- Éditeur
- Robert Laffont
- Date de publication
- 11/01/2024
- Collection
- Pavillons (1)
- Nombre de pages
- 305
- Dimensions
- 21,8 x 14,1 x 2,4 cm
- Poids
- 324 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Le plus petit dénominateur commun
De Pirkko Saisio
Traduit par Sébastien CAGNOLI
Robert Laffont
Pavillons
Offres
-
21.00
Autre version disponible
Iconique en Finlande, l'autrice Pirkko Saisio nous offre un récit sensible, un texte contemporain aux allures de classique.
Lorsque la narratrice de ce roman perd soudainement son père et voit sa vie bouleversée, elle se remémore son enfance. Alors qu'elle se confronte à ses souvenirs, celle-ci lui apparaît sous un jour nouveau, comme repeinte dans une teinte étrange. De sa maison d'enfance à l'hôpital et la morgue, Le plus petit dénominateur commun est le récit de cette femme et de la petite fille enfouie en elle : une petite fille qui a toujours voulu être un garçon, racontant sa propre histoire à la troisième personne.Ce récit fragmenté qui interroge l'identité, la sexualité, le rapport au monde, est le premier volet d'une trilogie autofictionnelle dans laquelle on peut voir Helsinki, en toile de fond, évoluer au fil des décennies.
----------" Si vous avez aimé Deborah Levy, vous adorerez Pirko Saiso. Elle a le même art que Deborah Levy pour nous rendre son monde étrangement familier. On a la sensation de faire la connaissance d'une amie, dans cette Finlande des année 50-60 communiste. Elle raconte son histoire à hauteur d'enfant et ensuite elle donne le point de vue d'adulte, il y a donc un dédoublement de la narration et en même temps c'est extrêmement fluide.
On fait la connaissance d'une amie, mais surtout d'une écrivaine qui a un style poétique, lumineux, imagé : c'est magnifique !"Elisabeth Philippe, Le Masque et la plume
Lorsque la narratrice de ce roman perd soudainement son père et voit sa vie bouleversée, elle se remémore son enfance. Alors qu'elle se confronte à ses souvenirs, celle-ci lui apparaît sous un jour nouveau, comme repeinte dans une teinte étrange. De sa maison d'enfance à l'hôpital et la morgue, Le plus petit dénominateur commun est le récit de cette femme et de la petite fille enfouie en elle : une petite fille qui a toujours voulu être un garçon, racontant sa propre histoire à la troisième personne.Ce récit fragmenté qui interroge l'identité, la sexualité, le rapport au monde, est le premier volet d'une trilogie autofictionnelle dans laquelle on peut voir Helsinki, en toile de fond, évoluer au fil des décennies.
----------" Si vous avez aimé Deborah Levy, vous adorerez Pirko Saiso. Elle a le même art que Deborah Levy pour nous rendre son monde étrangement familier. On a la sensation de faire la connaissance d'une amie, dans cette Finlande des année 50-60 communiste. Elle raconte son histoire à hauteur d'enfant et ensuite elle donne le point de vue d'adulte, il y a donc un dédoublement de la narration et en même temps c'est extrêmement fluide.
On fait la connaissance d'une amie, mais surtout d'une écrivaine qui a un style poétique, lumineux, imagé : c'est magnifique !"Elisabeth Philippe, Le Masque et la plume
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