- EAN13
- 9782824052540
- Éditeur
- Editions des Régionalismes
- Date de publication
- 21/10/2017
- Collection
- Au Viu Leupard
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
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Aide EAN13 : 9782824052540
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Qui veut comprendre les îles du Ponant aujourd’hui ne peut faire l’impasse sur
leur histoire et leur géographie si particulières. A ce titre, les meilleurs
témoignages littéraires sur la vie dans ces petits mondes insulaires entre
1850 et 1950 nous sont offerts par l’écrivain brestois Henri Queffélec
(1910-1992). Ce grand connaisseur des «travailleurs de la mer» y situa en
effet l’action de six de ses romans les plus célèbres.
La réédition de La voile tendue, pour le 50e anniversaire de sa parution,
ravira tous les amoureux de cette région de France qui s’avance dans l’océan
comme «la figure de proue de l’Ancien Monde». D’autant plus que ce roman n’a
fait l’objet d’aucune réédition depuis sa publication, ni seul ni dans un
recueil.
Ici, l’intrigue ne fait qu’effleurer l’île de Bréhat. Seule la première partie
de l’ouvrage traite de l’île. Pourtant, l’auteur y fait profusion de
comparaisons grandioses. Le livre raconte les aventures de Jacques Sirbin, un
Cauchois, qui gagne l’Angleterre dans les derniers jours de la débâcle
française de 1940 et s’engage dans les Forces Françaises Navales Libres.
Réalité et fiction se mêlent autour de l’île des rochers roses. Le jeune marin
sert surtout d’alibi à Queffélec pour dépeindre l’émerveillement du visiteur
qui débarque à Bréhat.
La voile tendue est certainement le moins insulaire des neuf romans qu’Henri
Queffélec a consacrés aux îles bretonnes. Il n’en reste pas moins un
fantastique récit de mer et d’aventure, dans la grande tradition des Melville,
Loti, Conrad, Kipling et Vercel. — Avant-propos d’Eric Auphan, président de
l’Association des Amis d’Henri Queffélec.
leur histoire et leur géographie si particulières. A ce titre, les meilleurs
témoignages littéraires sur la vie dans ces petits mondes insulaires entre
1850 et 1950 nous sont offerts par l’écrivain brestois Henri Queffélec
(1910-1992). Ce grand connaisseur des «travailleurs de la mer» y situa en
effet l’action de six de ses romans les plus célèbres.
La réédition de La voile tendue, pour le 50e anniversaire de sa parution,
ravira tous les amoureux de cette région de France qui s’avance dans l’océan
comme «la figure de proue de l’Ancien Monde». D’autant plus que ce roman n’a
fait l’objet d’aucune réédition depuis sa publication, ni seul ni dans un
recueil.
Ici, l’intrigue ne fait qu’effleurer l’île de Bréhat. Seule la première partie
de l’ouvrage traite de l’île. Pourtant, l’auteur y fait profusion de
comparaisons grandioses. Le livre raconte les aventures de Jacques Sirbin, un
Cauchois, qui gagne l’Angleterre dans les derniers jours de la débâcle
française de 1940 et s’engage dans les Forces Françaises Navales Libres.
Réalité et fiction se mêlent autour de l’île des rochers roses. Le jeune marin
sert surtout d’alibi à Queffélec pour dépeindre l’émerveillement du visiteur
qui débarque à Bréhat.
La voile tendue est certainement le moins insulaire des neuf romans qu’Henri
Queffélec a consacrés aux îles bretonnes. Il n’en reste pas moins un
fantastique récit de mer et d’aventure, dans la grande tradition des Melville,
Loti, Conrad, Kipling et Vercel. — Avant-propos d’Eric Auphan, président de
l’Association des Amis d’Henri Queffélec.
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