- EAN13
- 9782367601595
- ISBN
- 978-2-36760-159-5
- Éditeur
- Erick Bonnier
- Date de publication
- 13/12/2018
- Collection
- ENCRE D ORIENT
- Nombre de pages
- 108
- Dimensions
- 19,2 x 11,3 x 1,1 cm
- Poids
- 100 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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un recueil de poésies mystiques du grand Khaled Roumo
Khaled Roumo se perd dans les méandres de l'existence jusqu'à dire : " Je suis le roi de mon néant ". Elliptique, il nous incite à l'accompagner à travers ces poèmes-récits afin d'élucider le sens de ce paradoxe insolite. Il veut nous mener probablement à un lieu poétique où l'écrin de la mémoire semble contenir :
Une pelote d'instants Qu'une main invisible Love et promène en silence Dans l'immensité de l'Être
Et même s'il se demande : " Suis-je l'ombre de mes jours ? " ou s'il souhaite se " couler dans l'oubli " si bien qu'il ne reste de lui que " Juste les cendres d'une image ", il émerge pour affirmer : " Je suis qui je veux être ". Une affirmation qui vient, peut-être, de sa disposition à accueillir non seulement les paradoxes mais aussi les contradictions à l'instar de cet abîme qui l'abrite et l'habite. Il émerge à nouveau pour s'interroger : Qui a enfanté l'attente ? L'introuvable réponse fait place au rêve :
Ma cité Une tasse de thé Dégusté A l'instar d'un regard Qui couve Ma présence Et mon absence Que rien n'égarent Ni le ciel infini Ni la terre et ses plis
Khaled Roumo se perd dans les méandres de l'existence jusqu'à dire : " Je suis le roi de mon néant ". Elliptique, il nous incite à l'accompagner à travers ces poèmes-récits afin d'élucider le sens de ce paradoxe insolite. Il veut nous mener probablement à un lieu poétique où l'écrin de la mémoire semble contenir :
Une pelote d'instants Qu'une main invisible Love et promène en silence Dans l'immensité de l'Être
Et même s'il se demande : " Suis-je l'ombre de mes jours ? " ou s'il souhaite se " couler dans l'oubli " si bien qu'il ne reste de lui que " Juste les cendres d'une image ", il émerge pour affirmer : " Je suis qui je veux être ". Une affirmation qui vient, peut-être, de sa disposition à accueillir non seulement les paradoxes mais aussi les contradictions à l'instar de cet abîme qui l'abrite et l'habite. Il émerge à nouveau pour s'interroger : Qui a enfanté l'attente ? L'introuvable réponse fait place au rêve :
Ma cité Une tasse de thé Dégusté A l'instar d'un regard Qui couve Ma présence Et mon absence Que rien n'égarent Ni le ciel infini Ni la terre et ses plis
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