- EAN13
- 9782364413672
- ISBN
- 978-2-36441-367-2
- Éditeur
- Presses Universitaires de Dijon
- Date de publication
- 22/10/2020
- Collection
- HISTOIRES
- Nombre de pages
- 185
- Dimensions
- 23 x 15 x 1,2 cm
- Poids
- 304 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Jules Legras, professeur et grand voyageur
De la sibérie à la sorbonne
Christine Lamarre, Sébastien Langlois
Presses Universitaires de Dijon
Histoires
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Ce recueil présente l'itinéraire d'un universitaire au tournant des XIXe et XXe siècles. Jules Legras, normalien, appartient à la génération des germanistes qui sont devenus les premiers professeurs de langues slaves en France.
Plusieurs missions, dans le cadre de l'alliance franco-russe, lui ont permis de rapporter récits et souvenirs qui sont devenus des best sellers au temps de la « slavomanie ». Il est toujours resté fidèle aux amitiés alors forgées, notamment avec ceux qui s'exilèrent après 1917.
La Première Guerre mondiale à laquelle il a participé en France, Russie et Sibérie (1915-1920) marque une coupure : « Ma spécialité est celle de deux pays détestés : la Russie et l'Allemagne » écrit-il dans son journal. L'entre deux guerres est pour lui une époque difficile de retrait, de refus des évolutions politiques et sociales tant russes que françaises.
Grand voyageur mais très attaché à sa ville de résidence, il a légué ses livres et ses papiers (aujourd'hui largement numérisés) à la bibliothèque municipale de Dijon ouvrant la possibilité de belles études.
Plusieurs missions, dans le cadre de l'alliance franco-russe, lui ont permis de rapporter récits et souvenirs qui sont devenus des best sellers au temps de la « slavomanie ». Il est toujours resté fidèle aux amitiés alors forgées, notamment avec ceux qui s'exilèrent après 1917.
La Première Guerre mondiale à laquelle il a participé en France, Russie et Sibérie (1915-1920) marque une coupure : « Ma spécialité est celle de deux pays détestés : la Russie et l'Allemagne » écrit-il dans son journal. L'entre deux guerres est pour lui une époque difficile de retrait, de refus des évolutions politiques et sociales tant russes que françaises.
Grand voyageur mais très attaché à sa ville de résidence, il a légué ses livres et ses papiers (aujourd'hui largement numérisés) à la bibliothèque municipale de Dijon ouvrant la possibilité de belles études.
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