On ne voyait que le bonheur

Grégoire Delacourt

JC Lattès

  • Conseillé par (Libraire)
    24 août 2014

    Au nom du père

    Dans un monde où tout est compté, que vaut la vie d'Antoine, la quarantaine, père de deux jeunes enfants et expert en assurance automobile ? Rongé par le manque d'amour de son enfance, le délitement de son couple et le basculement de sa vie professionnelle, Antoine sent monter en lui le mal absolu. Commettra-t-il l'irréparable ? Plongée dans la noirceur de l'âme humaine, descente aux enfers d'un homme tourmenté, « On ne voyait que le bonheur » est aussi le très beau roman de la reconstruction de soi, de l'amour renaissant, de la filiation et de la réparation, le roman le plus profond de Grégoire Delacourt, le plus sombre aussi et, paradoxalement, le plus lumineux.


  • Conseillé par
    21 janvier 2015

    amour, drame, famille, timidité

    Que vous dire que ce roman qui n'ai déjà été dit ?

    Il est bien évidemment question de bien plus de choses que d'indemnisations d'assurances.

    Il est question d'amour - de relations parents-enfants - d'hérédité - de beaux parents. Mais aussi de blessures et de cicatrices - de greffes qui prennent ou pas - de pardon - de reconstruction sur une table rase ou sur les fêlures du passé.

    Il est également question de timidité et de colère - de peurs - de phrases ou de mots que nous ne prononçons pas.

    Un roman qui m'a tellement touché (et que j'hésitais à lire) que je ne trouve pas les mots pour en parler.

    L'image que je retiendrai :

    Pourquoi il pleut ? demande enfin l'enfant.

    http://motamots.canalblog.com/archives/2015/01/05/31249668.html